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Ensemble pour un meilleur futur...

 

 

 

Retrouver les valeurs humaines

La pandémie nous a projetés dans une crise économique dont il sera difficile de se relever. Elle a aussi mis en lumière les énormes injustices sociales de notre système économique. Nous avons de plus en plus d’informations sur le fait que certains groupes ont été touchés plus que d’autres par la Covid-19. L’introspection devra commencer par une déconstruction et une remise en question de nos acquis.

Il y a un énorme travail à faire pour apprendre à nos enfants, et infuser le message dans toute la société, que chaque être humain a la même valeur, indépendamment de son ethnicité, son statut social, sa religion, son âge, son orientation sexuelle ou son identité de genre. Et il faut commencer maintenant. Trop de vies ont déjà été perdues, sans parler des énormes souffrances encourues.

Cette pression que nous ressentons de toujours projeter une quelconque image de soi pour être accepté ou reconnu nous empêche d’être authentique. Le besoin d’appartenance est un besoin primordial, qui n’est pas comblé en essayant de se plier aux attentes de la société. Il est comblé lorsque nous sommes honnêtes et vrais avec nous-mêmes et avec les autres.

La question à se poser pour l’après-Covid est : comment créer un monde dans lequel les valeurs d’acceptation de l’authenticité de chacun, d’ouverture sincère aux autres, et de bien-être collectif — sans exclure quiconque — seront la clef de voûte de notre société ?

À quoi ressemblera le monde après la COVID-19 ? Nombre des enjeux auxquels nous serons confrontés au cours des dix prochaines années seront simplement des versions plus extrêmes de ceux auxquels nous nous heurtons déjà aujourd’hui. Cette fois, le monde n’apparaîtra que vraiment différent si, au sortir de la crise, nous nous décidons à agir pour relever ces défis et susciter un changement radical.

 

Tout semble brusquement  se normaliser. A des échéances temps qui peuvent varier d'un pays à l'autre, la vie "normale" reprend ses droits et, sauf réactivation des contaminations virales, nous reprendrons vite nos habitudes socio-économiques et très vite, les conséquences de la pandémie Covid19 seront "oubliées".  Idem pour les aspects les plus positifs de la pandémie: solidarité, partage, soutien, recherche de sens...

L’enseignement le plus précieux de la pandémie de COVID-19 est la nécessité de relever ensemble les défis qui touchent l’ensemble de l’humanité : nous sommes beaucoup plus forts unis que divisés.

Ce monde de la COVID-19 pourra engendrer une prospérité partagée, s’il se caractérise par une ambition réciproque et une solidarité mondiale

Après la pandémie Covid 19, une réelle menace de guerre est aux portes de l'Europe! Mais que faudra-t-il  donc pour que les peuples se révoltent? Faut-il  vraiment continuer à subir passivement la volonté et l'autoritarisme de nos gouvernants, que nous avons parfois, souvent, choisis

La question à se poser pour l’après-Covid est : comment créer un monde dans lequel les valeurs d’acceptation de l’authenticité de chacun, d’ouverture sincère aux autres, et de bien-être collectif — sans exclure quiconque — seront la clef de voûte de notre société ?

L'Association "Le pour-mille" est motivée par un but ultime : celui de contribuer à un monde meilleur pour tous. Notre mécanisme de prise de décisions repose sur des études empiriques ainsi qu'une évaluation de données de haute qualités. Nous nous dépassons pour permettre la construction de relations fructueuses et avoir un réel impact dans tout ce que nous entreprenons.

La réduction de la consommation:  La troisième facette de la décroissance est peut-être la moins consensuelle : la simplicité volontaire. Le principe d’une décroissance s’inscrit dans l’idée de vivre mieux avec moins. Certes, les personnes qui pratiquent la simplicité volontaire vivent davantage en accord avec les limites planétaires; ce qui est louable. Cependant, la simplicité volontaire représente un objectif bien plus exigeant que la diminution de la consommation. La réduction de la consommation fait partie intégrale de la réflexion en ces temps de pandémie, et traduit mieux l’objectif qu’on doit viser. Cela ne va pas appauvrir la population. Télétravail, fin de l’obsolescence programmée, semaine de travail réduite, population en meilleure santé : voilà autant de propositions pouvant contribuer à l’épanouissement de la société. La réduction des accidents de la route et des dépenses en médicaments antistress sont aussi des conséquences positives de certaines « contractions économiques ».

Une question de Vie ou de Mort Les principes économiques, érigés en dogmes tout puissants et sur laquelle s'appuie la société occidentale moderne, montrent qu’ils encouragent aujourd’hui la misère et l’asservissement des humains. Ils conduisent à l’exploitation des animaux, à l'extinction des espèces, à la destruction de l'environnement. Ils bouleversent le climat de manière irréversible. Ils sont tout simplement déments. Ces chiffres, à eux seuls, résument l'économie moderne : 963 MILLIONS de PERSONNES souffrent de sous-alimentation chronique et chaque jour 100 000 personnes, dont 40 000 enfants, meurent de faim ou de maladies liées à la malnutrition et à la pauvreté.1 15 589 espèces (7 266 animales et 8 323 végétales) sont confrontées à une crise d’extinction majeure : un amphibien sur trois, un oiseau sur huit et un mammifère sur quatre.2 1 D’après la Food and Agriculture Organization (FAO), organisation des Nations Unies en charge des questions d’alimentation, dans « L’état de l’insécurité alimentaire dans le monde en 2008 », soit 40 millions de plus qu'en 2007. 2 International Union for Conservation of Nature and Natural Resources (IUCN) : liste rouge 2004 des espèces menacées. L'homme n'a décrit que 1,75 million d’espèces sur 10 et 30 millions d’espèces supposés, hors espèces des grandes profondeurs. Chaque année des milliers d’espèces inconnues

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